En préparant mon dossier de sponsoring pour la saison 2025, j'ai réalisé une analyse que je souhaite partager avec vous pour mettre des chiffres sur un sujet souvent controversé et ainsi démontrer qu'il n'y a pas de honte à pratiquer ce sport, et encore moins à le soutenir.Ma consommation de carburant pour la saison 2024 a été de 100 litres, générant environ 229 kg de CO2. En comparaison, un Suisse parcourt en moyenne 1500 km en avion par an, ce qui équivaut à environ 225 kg de CO2. Étonnamment, mes émissions sont comparables, voire inférieures, à celles d’un voyage aérien moyen. Cela montre que ma pratique du sport automobile a un impact environnemental similaire à d'autres activités, surtout en relevant le fait que je n'ai plus repris l'avion depuis 2018.
Le sport automobile est également un terrain d'innovation technologique. L'utilisation de carburants synthétiques, qui peuvent réduire les émissions de CO2 de près de 85 %, est en plein développement. En participant à des compétitions, je contribue à sensibiliser aux enjeux environnementaux et à discuter des innovations techniques. Même si je n'ai pas encore adopté les carburants synthétiques en raison des modifications nécessaires, cela reste une option envisageable si mes partenaires soutiennent cette initiative.
Pour moi, le sport automobile est une passion et un moyen d’épanouissement. En équilibrant cette passion avec des choix éclairés, je montre qu'il est possible de profiter de ses activités tout en étant conscient de leur impact environnemental, sans avoir à culpabiliser.
Si vous êtes intéressés à me soutenir dans cette démarche, n'hésitez pas à me contacter en privé pour obtenir mon dossier de sponsoring.
Votre soutien est précieux et je vous en remercie d'avance !
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