

si le facteur"pneus",avec cette pénurie,qui s'annonce,permette aussi de freiner les autos avec des gommes moins perfomantes,mais pas plus nombreuses.......à noter qu"au sein de la commission cfm,il fallait se"battre"à chaque réunion,avec un pilote,qui avait le raisonnement des pilotes italiens nommés,plus haut,c'était quasiment un train de pneus par course,qu'il aurait fallu à minima!!!!qui va défendre les pilotes moins fortunés?les organisateurs,et officiels,élus,qui n'ont jamais piloté!!!!avec en prime, un gros sponsor,commun,du cfm,et du pilote,demandeur,comme,moyen de pression!pWe a écrit : ↑ven. 13 janv. 2023 12:46 au niveau de la "performance" et notamment des vitesses en courbe, on ne parle que trop peu des (énormes) progrès en matière de pneumatiques ultra-ultra-softs spécifiques pour les courses de côte ces dernières années. Or les pneumatiques jouent un rôle prépondérant dans la baisse des records de parcours (n'est-ce pas très souvent la montée où le pilote opte pour de nouvelles gommes qui fait la différence?).
Or, si la fédé (ni les nouveaux ou anciens membres de la commission CC) n'a pas du tout "pensé" à freiner l'évolution en limitant un peu plus l'emploi de nouvelles gommes, le marché pourrait très vite régler ce point. Car après l'annonce de l'arrêt des activités d'Avon en fin d'année suite à la revente du manufacturier, c'est au tour de Pirelli d'annoncer ne plus pouvoir livrer des gommes spécifiques côte en raison de pénurie de matières premières. Si déjà en 2022, il était pas aisé de s'approvisionner en gommes, ceci devrait devenir de plus en plus un casse-tête pour les montagnards à l'avenir, qui devront se rabattre sur des gommes "circuits" plus endurantes (bien pour le budget) mais moins performantes (bien pour la sécurité?, ça reste à prouver, car de chronos moins rapides ne voudra pas nécessairement dire comportement moins dangereux des voitures en raison du manque d'adhérence).
D'autant plus que je ne serais pas étonné si Michelin aussi suive le mouvement, le marché montagnard étant un marché de niche très peu lucratif et les Clermontois n'ayant sûrement pas plus de facilité à se procurer les matières premières défaillantes.
En CEM ça pourrait même être la fin des "nouvelles gommes pour chaque montée" (y incluses celles d'essai) pour le duo des soi-disant "extra-terrestres" italiens qui pourraient enfin, du moins sur ce point, se retrouver à pied d'égalité avec leurs concurrents.
quand ,chez avon ,les a15,pas dispo,ces dernieres années,on montait des a11,et une autre ref?prévus pour le circuit au départ,sur les roues motrices,ok,mais,quand il faisait froid,sur roues non matrices,gafffff......si tout le monde à la méme enseigne,ça doit jouer, quant au possibilité de couvertures chauffantes,,encore une escalade.financiere,sans,égalité de chance!
quand vous parlez,de l'évolution des gommes tendres,l'initulisation des couvertures,en est bien la preuve,mais les interdire avec moins de choix dans les futurs pneus,est une solution aussi,pour ralentir,les autos
Sur ce coup Didier je ne suis pas vraiment d'accord avec toi. Un vrai pneu circuit en côte est complètement inconsistant, à partir de quel virage sera-t-il efficace ? (et encore si il a le temps) Cela veut dire que dans l'auto tu n'est pas en confiance du tout, car tu ne maîtrises pas totalement ce paramètre.
peut étre négocier,la gomme la plus tendre en circuit,à utiliser,exclusivement,en cote,où,si il n'y aqu'un seul choix,cela peut faire du volume,et minimiser le probléme de niche,modo1 a écrit : ↑sam. 14 janv. 2023 18:31Sur ce coup Didier je ne suis pas vraiment d'accord avec toi. Un vrai pneu circuit en côte est complètement inconsistant, à partir de quel virage sera-t-il efficace ? (et encore si il a le temps) Cela veut dire que dans l'auto tu n'est pas en confiance du tout, car tu ne maîtrises pas totalement ce paramètre.
Pour ma part je trouve cela dangereux.
Pour les couvertures chauffantes je te rejoins, c'est une dépense en plus.
C'est, peut être le seul levier d'action des instances de conseil. Les responsables de l'organisation des courses de côte ne peuvent que demander aux organisateurs technique, d'installer des protections qui permettent un maximum de vitesse avec un minimum de risque. Peut être que le problème pour répondre aux besoins de sécurité provient du niveau d'exigence actuel vis à vis du risque.pWe a écrit : ↑sam. 14 janv. 2023 18:13 cette discussion tourne malheureusement en rond, "ralentir" n'est pas la solution si en même temps les voitures souffriront d'une adhérence moindre et risquent donc plus facilement de sortir, en plus avec du surpoids qu'il sera difficile de freiner et qui entraînera au pire des blessures (plus) graves...
biensur que si qu'il faut agir sur les perfomances techniques,réduites,ce qui entraine,limitation de puissance et vitesse,si tu n'autorise qu'un 2000cc,par exemple,à la place d'un 3000ccraoul68 a écrit : ↑dim. 15 janv. 2023 05:45C'est, peut être le seul levier d'action des instances de conseil. Les responsables de l'organisation des courses de côte ne peuvent que demander aux organisateurs technique, d'installer des protections qui permettent un maximum de vitesse avec un minimum de risque. Peut être que le problème pour répondre aux besoins de securite provient du niveau d'exigence actuel vis à vis du risque.pWe a écrit : ↑sam. 14 janv. 2023 18:13 cette discussion tourne malheureusement en rond, "ralentir" n'est pas la solution si en même temps les voitures souffriront d'une adhérence moindre et risquent donc plus facilement de sortir, en plus avec du surpoids qu'il sera difficile de freiner et qui entraînera au pire des blessures (plus) graves...
Je me rappelle qu'il y a 50 ans j'étais arrivé à Abreschviller en retard et que j'avais appris qu'un drame avait été vécu par un jeune homme de 20 ans avec son Alpine Berlinette. Dans la dernière ligne droite avant l'arrivée, les arbres ne lui avaient laissé aucune chance de s'en sortir vivant. Il y avait eu une minute de silence lors du départ de la montée suivante et puis l'épreuve s'était déroulée normalement.
Aujourd'hui ce ne serait plus acceptable et s'est sans doute mieux.
Mais comme cela a été écrit avant, faire de la côte un circuit est impossible. Donc il faut agir sur la limitation de la puissance, ou de la vitesse, mais pas sur les performances techniques. Que faire d'autre ?
Suis tout à fait d accord. "sortir" avec une groupe n "pied tôle à fond de 6"sur un pb de freinage, ou avec une auto, avec crash box, avec 40 50 km/h d ecard, là, c juste la chance, le destin, l instant, bref, l endroit où se trouve l obstacle, ou par contre la prairie, qui change la donne. Limiter les risques oui, au maximum, bien entendu. Mais il faudrai faire la corrélation entre performance et danger. Les 2 sont ils en lien direct ?, la course auto, a été, est, et sera tjs dangereuse... Le risque 0 est une utopie. La seule chose possible, est de le réduire au maximum. De là à lier directement "risques" avec performances...pWe a écrit : ↑dim. 15 janv. 2023 21:36 moi je suis juste choqué qu'on fait tout pour freiner (sans nécessairement "sécuriser") une petite partie du plateau, tandis que personne ne semble s'inquiéter du fait que tous les autres aussi risquent chaque weekend leur vie ou leur santé, et que les derniers décès en côte en Europe (et en France) ne venaient nullement de cette partie là du plateau....